Et bien ça donne une vidéo super drôle comme à peu près tout ce qu’ils font. Ces deux mecs savent prendre n’importe quel sujet et exploiter la faille, le truc qui sonne faux. Personnellement je trouve ça hyper amusant, parce que ça m’est aussi arrivé de percevoir ce coté un peu léger surtout dans les grands rassemblement, salons ou festivals, et là au secours ! ça devient l’overdose, ce coté imbuvable de la médecine douce que je ne vous conseille pas du tout.
Ils avaient déjà attaqué les magasins bio et c’était à mourir de rire aussi. Si vous êtes passé à coté, ça vaut le coup aussi : Le Magasin bio – Palmashow
Bref merci le Palmashow, vous êtes drôles et vous vous êtes pas loupé sur celle là !
D’après un Sondage Ipsos récent, près d’1 français sur 2 estime qu’il passe à coté de sa vie. Je nous croyais pas aussi nombreux à pouvoir l’admettre ! Une prise de conscience qui à mon sens est très bon signe même si ce chiffre peut faire peur.
Découvrez l’interview de l’ambassadeur du Sungazing en France Sébastien Lorca. « La pratique du sungazing, ou observation solaire, consiste, au moment du lever ou du coucher de soleil, à regarder le soleil à l’oeil nu, les pieds nus sur le sol. »
Auteur célèbre, doté d’une intelligence humaine rare qui lui permet de donner à ses romans une empreinte inégalable, Stéphane Zweig s’en sert aussi pour observer avec honnêteté intellectuelle les phénomènes de « guérison par l’esprit » dans un livre qui réunit 3 biographies passionnantes (Mesmer, Mary Baker, Freud). C’est avant tout la préface, son introduction, sa vision personnelle qui m’a plu, dont certains extraits que je souhaite partager avec vous.
Voici le premier :
« La maladie n’est plus un phénomène qui s’attaque à l’homme tout entier, mais seulement à un de ses organes (Virshow au congrès de Rome dit « il n’y a pas de maladie générale, mais seulement des maladies d’organes et de cellules »). La mission originelle du médecin qui était de combattre la maladie en la traitant comme un tout, se transforme naturellement en une tache, au fond, plus médiocre : localiser tout mal et sa cause et le classer dans une catégorie de maladies systématiquement décrite et déterminées. Dés que le médecin a mené à bien son diagnostic et désigné la maladie, il a fait la plupart du temps le principal, et le traitement se poursuit de lui-même par la « thérapie » prescrite à l’avance pour ce « cas ». La médecine moderne, science établie sur la connaissance et entièrement détachée de toute religion, de toute magie, s’appuie sur des certitudes absolues au lieu de faire appel aux intuitions individuelles (…). La médecine n’exige plus comme jadis de ses disciples une prédestination sacerdotale ni des dons de visionnaires leur permettant de communiquer avec les forces universelles de la nature : la vocation est devenue métier ; la magie, système ; le mystère de la guérison, connaissance des organes et science médicale. Une guérison ne s’accomplit plus comme une action morale, un événement miraculeux, mais comme un fait purement raisonné et calculé par le médecin (…). Là où l’ancienne méthode de guérison magique réclamait la plus haute tension de l’âme, le clinicien a besoin de toute sa lucidité et de tout son sang-froid. »
Le lien entre la pyramide de Maslow et le degré de prise de conscience m’a sauté aux yeux. J’ai trouvé ça amusant de faire un lien et j’ai eu envie de le matérialiser parce que je me suis aperçue qu’on était nombreux dans une démarche spirituelle à avoir sauté des étapes, plus particulièrement la première qui est incontournable lorsqu’on avance sur le chemin de l’évolution. Si on passe à coté de la base, le haut restera inaccessible. Certaines médecines douces mettent l’accent plus que d’autres sur ces différentes étapes et c’est ce que j’ai aussi voulu illustrer dans ce schéma.
Vous trouverez dans mes prochains articles le détail de chaque prise de conscience :
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