par alpaccoud | Avr 24, 2016 | Articles de fonds, Mes articles, Mes références, Synthèses
« Les niveaux du transpersonnel » est la 5ème partie du livre « Les psychothérapies transpersonnelles »
-> Lire la partie 1 « La maladie, sens ou non-sens« , la partie 2 « Le soi principe directeur de la psychothérapie et du transpersonnel« , la partie 3 « Le transpersonnel et la psychothérapie« , la partie 4 « Les étapes du processus thérapeutique«
1. Le transpersonnel horizontal
Le transpersonnel horizontal c’est ce qui se passe de personne à personne, du psychothérapeute au patient.
- L’implication : tant que le thérapeute n’est pas luii-même vrai et authentique, il ne peut rien apporter de bon aux autres
- Le total détachement : le thérapeute ne doit pas chercher de la reconnaissance et si tel est le cas, il doit rester indifférent.
- L’ouverture au niveau du cœur : permet au thérapeute d’obtenir de meilleur résultat dans la phase de réparation
- L’inspiration du thérapeute : cette puissante, merveilleuse et effrayante intuition en état de grâce qui lui permet d’avoir accès à la vérité intérieur cachée du patient. Mais attention à ne pas mélanger avec ses propres complexes inconscients !
- La méditation comme technique thérapeutique pour découvrir :
- Son corps (support de toute méditation) : corps centré, esprit centré
- Le silence : permet la maitrise de la pensée et la découverte de son espace intérieur
- La communication essentielle : il faut d’abord pouvoir communiquer avec son être profond pour communiquer avec les autres sur un autre plan (plus profond, centré sur ce qui est Un, les identités…non pas les échanges superficiels centrés sur les divergences, les oppositions…)
Les expériences horizontales ne sont que de la parapsychologie (pouvoirs psychique), et « pseudo spirituelles et peuvent même être une entrave à la pleine réalisation du Soi transpersonnel.
2. Le transpersonnel vertical
Un dépassement de la personne vers un au-delà de la personne. Il y a 3 modes de thérapies complémentaires et non linéaires qui correspondent aux 3 attitudes face à un problème :
- la résolution du problème : on cherche l’origine du problème, puis on se délivre des schémas répétitifs, des influences parentales, des traumatismes enfantins…le travail porte sur l’inconscient avec les interdit du surmoi et les pulsions du ça > psychanalyse & psychothérapies analytiques
- le dépassement du problème : on passe des sensations, émotions, sentiments, aspirations désordonnées et en conflit entre-elles à la découverte de l’être profond, le « soi », qui devient l’élément unificateur des différents aspects de nous-mêmes, un moi fort et solide, une philosophie orientale qui unit les complémentaires. Le problème ne pose alors plus pareillement >> Psychosynthèse, Gestalt, taoïsme
- le refus du problème : dépasser son ego et le plan psychologique pour réaliser son réveil spirituel (attention : seulement avec un moi solide et harmonieux sinon risque forts d’accidents psychiatriques de dépersonnalisation). Il faut démonter les 3 mécanismes du moi :
- mettre fin à la conscience de séparation, et échapper à l’illusion d’être à part. Attention les bonnes intentions à ce propos aboutissent souvent à l’hypertrophie du moi « à mon avis, je moi-même, personnellement… »
- stopper le processus d’appropriation : ma femme, mes enfants, ma voiture, mes patients, mes idées…s’efface avec la découverte de sa véritable nature non-personnelle.
- atteindre un niveau supérieur de conscience : l’expansion de conscience permet de se délivrer de l’illusion que la conscience se limite à un corps.
3. L’ouverture à la dimension sacrée
La psychothérapie transpersonnelle introduit des techniques données par les maitres spirituels d’orient qui éveillent la conscience humaine, ouvrent la vie au sacrée tout en évitant les dangers de la possessions par les esprits dans une transe (ceci permet de déculpabiliser car nous ne sommes que leurs jouets).
L’ouverture à des forces qui dépassent la dimension humaine conduit à la découverte du château intérieur. On réalise la mesquinerie de nos rancoeurs et nos frustrations à la lumière de l’infinie richesse qu’on découvre en nous.
La réalisation spirituelle qui est la plus haute forme de guérison, le but de toute destinée. Quitter la voie de la lumière pour celle de la facilité et passer à coté de sa réalisation est l’expérience la plus douloureuse et traumatisante : on se noie dans l’alcool, le sexe, la drogue, l’argent, le pouvoir ou l’érudition. Il ne reste plus que l’identification dans les biens secondaires.
4. Les objections matérialistes au transpersonnel
- Ce ne sont que des mots pour ceux qui manquent l’expérience. L’orgasme n’est qu’un mot pour certains et n’aura jamais l’équivalent de l’expérience !
- La vision réductrice qui ramène l’homme à sa réalité biologique guidée par le hasard relève encore du courant matérialiste dépassé et désavoué maintenant par la science la plus récente qui débouche sur une conscience-énergie de l’univers. On ne peut guérir véritablement sans trouver le sens de sa vie et du monde.
- Freud ramène la spiritualité au sentiment océanique et au vécu utérin, ce qui n’est pas impossible mais simplement réducteur (il réduit tout au sexe, à l’intérêt et à l’agressivité) car le sacré est ouvert à tous.
Anne-Laure
Septembre 2015, j’ai reçu le certificat supérieur d’études transpersonnelles après avoir étudié pendant 9 mois, les 9 modules du programme de l’Institut de psychologie transpersonnelle. Pour chaque module, j’ai rendu une synthèse qui a été validée par le président de l’institut Marc-Alain Descamps, Docteur en Psychologie, psychanalyste rêve-éveillé, et professeur de Hatha Yoga & Yoga Nidra. Je partage avec vous la partie 5 « Les niveaux du transpersonnel » du module 3 « Le transpersonnel et la psychothérapie ».
par alpaccoud | Avr 17, 2016 | Articles de fonds, Mes articles, Mes références, Synthèses
« Les étapes du processus thérapeutique » est la 4ème partie du livre « Les psychothérapies transpersonnelles »
-> Lire la partie 1 « La maladie, sens ou non-sens« , la partie 2 « Le soi principe directeur de la psychothérapie et du transpersonnel« , la partie 3 « Le transpersonnel et la psychothérapie«
1. Le pardon
Prérequis : soulagement produit par une longue période d’expressions de ses souffrances. Les nouvelles thérapies dites primales permettent à ce titre de revoir les crises de l’enfance ou de la naissance et de libérer les émotions refoulées. Les psychanalystes quant à eux ne se contentent plus de l’analyse du discours mais intègrent désormais l’aspect émotionnel au même titre qu’une thérapie primale.
Etape 1 : reconnaître ses tords même vis à vis des gens qui nous ont fait souffrir, c’est voir l’ombre en nous (le mal qu’on dit de nous correspond à cela) et ouvrir les yeux sur l’existence du mal et du bien (dans l’absolu, le bien et le mal n’existe pas mais dans le monde relatif le bien et le mal existe). Chaque pauvre victime est le bourreau que décrit l’autre, les plaintes ne sont pas objectives et les torts sont partagés. Sartre dit « Moitié victime, moitié complice ». On ne peut changer tant que personne n’a tord tant qu’on ne distingue pas le mal du bien.
Etape 2 : pardonner en prenant les autres tels qu’ils sont et ne pas vouloir les changer (ils ont eu leurs problèmes, leurs éducations, leurs blessures…). Voir les membres de sa famille tels qu’ils sont sans les idéaliser libère cette image oppressive et permet d’accéder au pardon car on s’aperçoit qu’on a finalement rien à pardonner. La haine est le pire des poisons pour l’esprit et le corps. Le pardon complet est triple :
- pardonner aux autres
- demander pardon à ceux à qui on a fait du mal ou qui pensent qu’on leur a fait du mal
- se pardonner à soi-même permet de retrouver l’estime de soi.
2. Le don
Il y a 3 parties dans une psychanalyse :
- Prise de conscience intellectuelle
- Libération par l’expression émotionnelle
- Réparation profonde de l’être ou rééducation qui se fait par relation intense d’amour avec le psychanalyste et qui sort le patient de la solitude et de la méfiance pour sa seconde vie (don reçu).
Du don reçu vers le don de soi :
- Reconnaître ses dons de création et renouer avec le meilleur de nous-même au centre de notre être, cette partie immaculée même dans l’âme la plus tiraillée. C’est la partie saine de l’inconscient primitif que distingue Jung de l’inconscient refoulé.
- Reconnaître sa liberté, c’est accepter sa responsabilité et sortir de la victimisation qui remet systématiquement la faute sur les autres. C’est facile d’abandonner toute décision et de se plaindre !
- La pratique régulière de la méditation permet d’opérer le passage du psychologique au spirituel à travers des expériences d’éveil. La spécialité de Desoille est de transmettre l’éveil de la lumière intérieure. Cette vision de lumière et cette rencontre avec de l’amour, du vide, de la plénitude ou d’une présence est une expérience qui transforme l’être et l’ouvre à la solidarité.
- Vient alors le don de soi qui nous pousse à nous tourner vers les autres et nous rendre utile sans tomber dans l’activisme qui permet seulement de transposer ses problèmes sur les autres ou vouloir régler ses problèmes en s’occupant des autres (ex : la charité). Une fois ses problèmes résolus on peut agir de manière désintéressé avec une réelle solidarité et s’abandonner.
3. L’abandon
Le sens du présent ne se comprend que dans l’avenir. La psychanalyse doit donc se poursuivre dans une prospective et non pas s’arrêter à une retrospective. L’abandon (ou lacher-prise) est le passage incontournable qui permet de redonner un sens à notre vie par le biais d’un projet, d’une intention qui développent la créativité. L’abandon ne correspond ni à ces signes et synchronicités que nous interprétons par facilité ni au fatalisme qui est un refus de liberté, de décider et de responsabilité. L’abandon de soi au seigneur n’est possible qu’après avoir nettoyé sa personnalité : l’état de grâce, la découverte du maître intérieur, l’inspiration du saint esprit.
En tombant au pieds d’un maître (ce que refusait l’égo), on peut dés lors se laisser guider par la grâce et agir par le non-agir (car la méditation est une activité de son être pour se joindre au fondement et écouter sa voie intérieure d’exigence et non de laisser-aller ou de facilité). L’univers a un sens et on y adhère en se mettant au service des forces de la lumières pour dissiper les ténèbres. On passe de la bestialité primitive de l’humanité à un sens de l’évolution.
Les synchronicités sont alors la manifestation de l’invisible à travers le visible. La collaboration à l’action divine (la spiritualisation de l’univers) est une force immense qui propulse alors qu’on nageait jusqu’alors à contre-courant.
4. Interactions du psychologique et du spirituel
« On peut nommer psychothérapies transpersonnelles toute psychothérapie à visée spiritualiste qui grâce à l’expérience transpersonnelle débouche au delà de l’égo sur la spiritualité et la vie intérieur intense. »
Le transpersonnel s’intéresse moins aux religions et leurs dogmes qu’à la spiritualité qui leur est infuse, c’est à dire la religion en esprit et non selon la lettre. Le spirituel se centre sur les techniques psychologiques de transformation de l’âme alors que le religieux reste fixé sur le statique (dogmes, rites, cultes). Le transpersonnel est à la recherche de ce qui est commun à toutes les religions. L’apport essentiel du transpersonnel est de prouver l’existence d’état de conscience au delà du moi, d’atteindre le Soi au delà de l’égo. Il permet donc de faire l’expérience requise par les religions sous différents noms : royaume de dieu, extase, samadhi, nature de bouddha…
Anne-Laure
Septembre 2015, j’ai reçu le certificat supérieur d’études transpersonnelles après avoir étudié pendant 9 mois, les 9 modules du programme de l’Institut de psychologie transpersonnelle. Pour chaque module, j’ai rendu une synthèse qui a été validée par le président de l’institut Marc-Alain Descamps, Docteur en Psychologie, psychanalyste rêve-éveillé, et professeur de Hatha Yoga & Yoga Nidra. Je partage avec vous la partie 4 « Les étapes du processus thérapeutique » du module 3 « Le transpersonnel et la psychothérapie ».
par alpaccoud | Avr 10, 2016 | Articles de fonds, Mes articles, Mes références, Synthèses
« Le transpersonnel et la psychothérapie » est la 3ème partie du livre « Les psychothérapies transpersonnelles »
-> Lire la partie 1 « La maladie, sens ou non-sens« , la partie 2 « Le soi principe directeur de la psychothérapie et du transpersonnel«
S’engager dans une psychothérapie c’est CHANGER, et pour cela il faut découvrir son être profond qui est bien différent de l’idée qu’on se fait de soi. Or nombreux sont ceux qui veulent l’effet miracle sans changer leurs comportements, leurs personnalité et sans admettre leurs tords.
Par ailleurs, une expérience transpersonnelle peut se produire au cours d’une psychothérapie mais n’est pas garantie (le désir et l’attente peut même la bloquer).
1. Le transpersonnel
Ne pas confondre personnel, interpersonnel et transpersonnel.
- Personnel : Un guide est nécessaire pour préparer à la rencontre du sacré qui va secouer notre personnalité. Pour tenir le choc, il faut être solide et mieux vaut avoir mené une psychanalyse ou une psychothérapie analytique qu’avoir fui son inconscient dans le développement personnel plus spirituel, plus rapide. En théorie on peut accéder par la psychologie et la psychothérapie a la même expérience de réalisation que par les techniques des voies de la mystique.
- Interpersonnel (ce qui se passe entre personnes) : la parapsychologie (empathie, télépathie, prémonition, rêves et visions, guérisseurs) peut mener au transpersonnel mais flatte l’égo et piège définitivement ceux qui fièrement montrent leur supériorité avec leur don.
- Transpersonnel : Engagée dans une voie spirituelle, la personne renonce à l’illusion de l’égo et cherche l’éveil à sa vraie nature (état transpersonnel permanent) avec l’aide d’un être éveillé car l’égo ne peut seul se désagréger. Pour y parvenir, le transpersonnel a recours à des anciennes techniques corporelles extraites de leur religion : le chamanisme sans la sorcellerie, le soufisme sans l’islam, le zen sans le bouddhisme, le yoga sans l’hindouisme, le hara sans le shintoisme…
2. Les psychothérapies
On recense plus de 140 méthodes de psychothérapie :
- en groupe : souvent des séminaires de plusieurs jours comme la gestalt, la bio-énergie…et dans le mouvement transpersonnel la psychothérapie holotropique de Grof, le rebirth, la sophrologie…
- en individuel : le modèle reste la psychanalyse (dont la psychologie analytique de Jung, le rêve éveillé de Desoille…sont apparentées au transpersonnel), et demande plusieurs années pour changer des dizaines d’années de mauvaise orientation. Pour se débarrasser des symptômes gênants (angoisses, timidité, alcoolisme, boulimie…), il faut renoncer à se vieilles habitudes, et ouvrir les portes de son inconscient en confiance pour y rencontrer aussi bien les zones d’ombres que la voie lumineuse qui conduit vers l’idéal. L’enfant n’est pas qu’un pervers sexuel polymorphe comme l’écrit Freud !
3. Les oppositions
Autrefois appelé « spiritualité » (ensemble des techniques d’accomplissement de son être : son destin et son salut), le transpersonnel s’opposait à la psychothérapie. Il y a pourtant 3 fonctions psychologiques en nous : végétatives (psyché), intellectuelles (noûs, ratio) et la fonction d’ouverture à une transcendance, divin ou sacré (pneuma, spritus).
La spiritualité s’occupe d’idéal, de valeurs et recherche un contact avec un principe supérieur mais sans religion qui organise la spiritualité de manière terrestre et temporel alors qu’elle n’est pas de ce monde mais dans le cœur de l’homme.
D’un coté, les psychothérapeutes accusent les spirituels de nier le psychologique (complexes, problèmes, contradictions…) qui pervertit la progression spirituelle (Freud reprochait à Jung de transposer ses problèmes dans la religion et la spiritualité)
De l’autre, certains spirituels considèrent la psychologie comme une perte de temps car en s’enfermant dans ses problèmes frustrants et en cultivant le culte de l’égo, on souffre de conditionnement dans son rôle de victime et du manque de liberté d’esprit.
Depuis 1970 sont apparues de nouvelles formes de psychothérapies transpersonnelles telles que le rebirth, les ateliers chamaniques, rêves lucides…mais certains thérapeutes suggèrent une expérience spirituelle (en 1 week-end) qui est plus imaginaire que réelle. Or ce type d’expérience profonde et transformatrice demande un long travail.
Anne-Laure
Septembre 2015, j’ai reçu le certificat supérieur d’études transpersonnelles après avoir étudié pendant 9 mois, les 9 modules du programme de l’Institut de psychologie transpersonnelle. Pour chaque module, j’ai rendu une synthèse qui a été validée par le président de l’institut Marc-Alain Descamps, Docteur en Psychologie, psychanalyste rêve-éveillé, et professeur de Hatha Yoga & Yoga Nidra. Je partage avec vous la partie 3 « Le soi principe directeur de la psychothérapie et du transpersonnel » du module 3 « Le transpersonnel et la psychothérapie ».
par alpaccoud | Avr 2, 2016 | Articles de fonds, Mes articles, Mes références, Synthèses
« Le Soi, principe directeur de la psychothérapie et du transpersonnel » est la 2ème partie du livre « Les psychothérapies transpersonnelles » –
-> Lire la partie 1 « La maladie, sens ou non-sens« .
Découvrir sa vérité personnelle permet de dépasser l’ego pour accéder au Soi, une dimension qui nous transcende (appelé processus d’individuation). Ce que Freud considère comme un « piège de l’illusion de la régression au ventre de sa mère », Jung, après avoir écarté les indices qui trahiraient une psychose, voit au contraire un véritable sentiment mystique, une progression vers l’archétype du Soi. Dans le cas d’un schizophrène, Jung considère que les explications freudiennes, expliquent le déclenchement de la pathologie mais pas la raison personnelle qui permettrait de résoudre le conflit.
Le Soi de Jung, est l’ « image du divin » des religions qui crée une personne en organisant son inconscient et son conscient. Une pathologie du Soi et d’éclatement, implique alors une position active du médecin pour faire ré-émerger l’expression du soi grâce au processus d’amplification qui reconnecte la personne qui souffre avec les mythes et l’histoire des religions.
La rencontre avec le sacré pour les jungiens, peut donner lieu à une pathologie (bouffées délirantes…) :
- car une expérience sauvage de rencontre avec la lumière et ses mystères peut effrayer,
- car rencontrer la lumière c’est aussi reconnaître la réalité du mal.
Il s’agit alors plus d’initiations et de découvertes spirituelles qui n’arrivent pas à s’exprimer que de psychiatrie. L’analyste se contente alors d’accompagner les montées et descentes aux enfers jusqu’à la fin des délires.
=> Le dépassement de Soi est la seule possibilité de réalisation de soi-même.
Anne-Laure Paccoud
Septembre 2015, j’ai reçu le certificat supérieur d’études transpersonnelles après avoir étudié pendant 9 mois, les 9 modules du programme de l’Institut de psychologie transpersonnelle. Pour chaque module, j’ai rendu une synthèse qui a été validée par le président de l’institut Marc-Alain Descamps, Docteur en Psychologie, psychanalyste rêve-éveillé, et professeur de Hatha Yoga & Yoga Nidra. Je partage avec vous la partie 2 « Le soi principe directeur de la psychothérapie et du transpersonnel » du module 3 « Les psychothérapies transpersonnelles ».
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