J’ai découvert le Reiki il y a plus de 10 ans et j’ai très vite eu envie de m’initier moi même pour être autonome. J’ai d’abord passé le degré 1 puis j’ai attendu quelques années avant de ressentir le besoin d’approfondir cette pratique avec le degré 2. Cela m’a permis d’être plus précise et plus efficace dans mes soins pour mes proches comme pour moi même. A titre d’exemple :
je me fais une séance de reiki complet dès que je ressens les 1ers symptômes d’angine ou de laryngite que j’ai eu de nombreuses fois et j’évite depuis à chaque fois la fièvre, les arrêts maladies…pour n’avoir qu’un léger rhume qui passe en 3 jours,
mes proches ont également pu apprécier les secours d’urgence en cas d’accidents légers en vacances,
j’ai aussi pu apporter du soulagement à des proches atteints de cancer ou en phase de chimio.
De la trousse à outils à un travail mental et émotionnel plus approfondi, le reiki m’a permis de prendre soin de mes proches comme de moi même en étant plus à l’écoute de mes besoins. Mes méditations sont aussi beaucoup plus intenses avec une dimension énergétique qui me met en conscience avec l’univers.
Et puis, savoir que j’ai un moyen d’agir positivement sur une situation est un facteur non négligeable en terme d’autonomie, de confiance en soi. C’est plutôt rassurant non ?!
Je vous conseille plus particulièrement Véronique Aubin, maître reiki recommandé à Paris sur networQi que je connais bien et avec qui j’ai eu l’occasion de bénéficier d’un soin énergétique et d’une lecture akashique qui m’a beaucoup apporté et dont je parlerai dans un autre article.
Dans la famille d’un de mes plus chers amis, la soeur, la mère et même la grand-mère sont initiées au reiki ! C’est sa mère qui en m’offrant plusieurs soins qui m’a donné envie de m’initier moi aussi il y a quelques années et qui m’a recommandé Marie-Noëlle, proche de Grenoble.
Qu’ai-je pratiqué avec elle ?
J’ai donc rencontré Marie-Noëlle à cette occasion (initiation reiki degré 1) et de nombreuses ont suivi : reiki degré 2, quelques cours de yoga, quelques groupes de lectures intuitives, et surtout beaucoup de temps passé à échanger ensemble sur mon parcours, mes difficultés, mes aspirations…C’est un peu ma mère spirituelle.
Qui est-elle et que fait-elle ?
En ce qui concerne le respect de la tradition et l’éthique d’initiation, je ne peux pas recommander mieux que Marie-Noëlle pour s’initier au reiki ou pour recevoir des soins. Non seulement elle est maître reiki depuis bien longtemps mais elle enseigne aussi le yoga traditionnel et la méditation. Elle donne plusieurs cours de yoga par semaine ainsi que plusieurs séances de méditation. Elle propose aussi depuis peu des soins par le son des bols tibétains.
Et puis sa sagesse tout comme ses facultés d’intuitions lui ont permis d’accompagner de nombreuses personnes, dont je fais partie et je lui suis profondément reconnaissante.
C’est toute un vie de recherche et d’exploration spirituelle en France ou en Inde que Maire-Noëlle partage avec nous, ce qui rend riche et précieux son travail.
Auteur célèbre, doté d’une intelligence humaine rare qui lui permet de donner à ses romans une empreinte inégalable, Stéphane Zweig s’en sert aussi pour observer avec honnêteté intellectuelle les phénomènes de « guérison par l’esprit » dans un livre qui réunit 3 biographies passionnantes (Mesmer, Mary Baker, Freud). C’est avant tout la préface, son introduction, sa vision personnelle qui m’a plu, dont certains extraits que je souhaite partager avec vous.
Voici le premier :
« La maladie n’est plus un phénomène qui s’attaque à l’homme tout entier, mais seulement à un de ses organes (Virshow au congrès de Rome dit « il n’y a pas de maladie générale, mais seulement des maladies d’organes et de cellules »). La mission originelle du médecin qui était de combattre la maladie en la traitant comme un tout, se transforme naturellement en une tache, au fond, plus médiocre : localiser tout mal et sa cause et le classer dans une catégorie de maladies systématiquement décrite et déterminées. Dés que le médecin a mené à bien son diagnostic et désigné la maladie, il a fait la plupart du temps le principal, et le traitement se poursuit de lui-même par la « thérapie » prescrite à l’avance pour ce « cas ». La médecine moderne, science établie sur la connaissance et entièrement détachée de toute religion, de toute magie, s’appuie sur des certitudes absolues au lieu de faire appel aux intuitions individuelles (…). La médecine n’exige plus comme jadis de ses disciples une prédestination sacerdotale ni des dons de visionnaires leur permettant de communiquer avec les forces universelles de la nature : la vocation est devenue métier ; la magie, système ; le mystère de la guérison, connaissance des organes et science médicale. Une guérison ne s’accomplit plus comme une action morale, un événement miraculeux, mais comme un fait purement raisonné et calculé par le médecin (…). Là où l’ancienne méthode de guérison magique réclamait la plus haute tension de l’âme, le clinicien a besoin de toute sa lucidité et de tout son sang-froid. »
Si les nouvelles théories scientifiques triomphent, ce n’est pas parce qu’on a démontré leur vérité mais parce que les défenseurs des anciennes finissent par mourir
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